CHAPITRE DIX
EN ROUTE VERS LA SCANDINAVIE
Guérison de Florence Nightingale
Le même soir où la photo de frère Branham fut prise, montrant une Lumière au-dessus de sa tête, le frère F.F. Bosworth qui l'accompagnait dans ses réunions, lui montra la photo d'une femme. Cette photo était jointe à un billet d'avion et une lettre de Florence Nightingale, de Durban en Afrique du Sud.
Elle souffrait d'un cancer à l'estomac, ce qui l'empêchait de manger, et ne pesait plus que cinquante livres. Elle avait été nourrie par les veines au point où cela n'était plus possible. Ayant entendu parler de frère Branham, elle lui avait écrit, le suppliant de venir prier pour elle.
On pria pour Florence Nightingale le soir-même à Houston, promettant à Dieu que s'Il la guérissait et qu'elle revenait en pleine santé, l'équipe Branham accepterait cette guérison comme signe qu'ils devraient aller en Afrique du Sud.
Mais voyant que frère Branham ne pouvait la rencontrer chez elle, Florence Nightingale résolut, malgré l'avis de ses médecins, de prendre l'avion en civière et de croiser frère Branham alors qu'il était de passage à Londres pour se rendre en Finlande. Voici ce qui se passa, huit semaines plus tard, soit le 7 avril 1950.
L'équipe Branham formée de quatre autres frères: le Rév. Jack Moore, le Rév. J. Ern Baxter, Gordon Lindsay et Howard Branham, atterrit au Northolt Airport, près de Londres. Lorsque l'équipe sortit de l'avion, on entendit les haut-parleurs appeler: "William Branham, on vous demande d'urgence". Florence Nightingale, mourante, était arrivée à l'aéroport quinze minutes avant lui et ceux qui l'accompagnaient l'avaient fait appeler d'urgence parce qu'ils croyaient qu'elle était en train de mourir.
Ce fut par une de ces journées brumeuses d'avril qu'ils se rendirent à l'hôtel Picadilly où elle était. Personne de l'équipe n'avait vu un être humain dans une condition aussi pitoyable. Leurs coeurs furent émus de compassion lorsqu'ils virent cette femme n'ayant que la peau et les os, qui dans un grand effort et avec douleur, essayait de leur parler, les larmes coulant sur ses joues.
Tous, incluant un ministre de l'Église Anglicane ainsi que ses gardes-malades, s'agenouillèrent. Alors qu'ils commençaient à prier, une colombe descendit et se posa sur le bord de la fenêtre, et regardant à l'intérieur, elle se mit à roucouler. Lorsque frère Branham eut fini de prier et dit "Amen", la colombe s'envola. Le ministre demanda: "Avez-vous vu cette colombe?". Il n'avait pas fini sa question que l'Esprit du Seigneur descendit sur frère Branham et il prononça ces mots: "AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous allez vivre, soeur".
On pensa d'abord que la colombe était simplement un oiseau apprivoisé, mais on apprit par la suite que c'était la première fois qu'une telle chose se produisait.
Huit mois après cet incident en Angleterre, frère Branham reçut une deuxième photo de Florence Nightingale. Cette fois-ci, elle était en pleine santé et pesait cent cinquante-cinq livres. C'est à ce moment-là qu'il reçut la conviction qu'il devait aussi aller en Afrique du Sud.
Mais revenons à son passage en Angleterre. Frère Branham voulait aussi visiter le roi Georges VI qui avait été guéri par ses prières. Laissons frère Branham nous donner les détails de cette guérison. (1)
Un homme du nom de Walt Amen souffrait de la sclérose en plaques et fut cloué au lit pendant dix ans. C'était au Gospel Tabernacle à Fort Wayne. Une vision vint et il fut complètement guéri. Il était un ami intime du secrétaire privé du roi. Par ce moyen, le roi Georges d'Angleterre m'envoya un mot. J'ai ses lettres et ses sceaux me demandant d'aller prier pour lui, car il était aussi atteint de la sclérose en plaques.
Ne pouvant pas y aller, je lui ai répondu que je prierais d'ici, que Dieu entendrait d'ici de la même façon que là-bas.
Ainsi, un autre télégramme arriva me demandant d'aller immédiatement là-bas. Plus tard, lorsque j'allai en Angleterre le voir, le Seigneur l'avait guéri. Il fut un temps où il ne pouvait même pas se tenir debout cinq minutes. Et je crois que c'est le deuxième jour (après qu'il eut prié), il joua ses dix-huit trous au golf. Cela ne l'a plus jamais dérangé jusqu'au jour de sa mort.
J'étais en Afrique lorsqu'il mourut. Il avait une petite tumeur sur les poumons et on décida de l'opérer. Quelque chose arriva de sorte qu'un caillot monta au cerveau et le tua instantanément.
En Finlande
L'équipe Branham passa plusieurs jours à visiter Londres. Leur désir était surtout de visiter la chapelle de John Wesley. Pour terminer, ils entrèrent dans la résidence du grand réformateur et s'agenouillèrent dans cette chambre où Wesley priait tous les matins à 5 heures. Ce fut un moment qu'ils n'oublièrent jamais.
Après avoir visité Paris pendant deux jours, ils reprirent la route vers la Finlande. Gordon Lindsay nous donne ici quelques détails. (2)
Le 14 avril, nous atterrîmes à Helsinki où nous fîmes la connaissance de plusieurs ministres, incluant le pasteur Mannimen qui nous avait invités, et la soeur May Isaacson, notre interprète native d'Amérique mais dont la connaissance de la langue finlandaise a contribué largement au succès de nos réunions en Finlande.
Notre première réunion au Messuhalli attira une foule de sept mille personnes. Ensuite, plusieurs milliers d'autres se tinrent debout tout l'après-midi, formant une ligne d'attente de quatre personnes de large et un demi-mile de long, afin de s'assurer un siège dans le plus grand auditorium de la Finlande.
Durant un intermède de cinq jours, alors que l'auditorium n'était pas disponible, l'équipe alla vers le nord à Kuopio, qui n'est pas très loin du cercle Arctique. La foi fut très grande dans cette ville et plusieurs merveilleux miracles s'accomplirent.
L'un d'entre eux fut la guérison de la petite Viera Ihalainen, une orpheline de guerre, dont la photo est dans ce livre-ci. Elle fut merveilleusement libérée d'un cruel appareil orthopédique après avoir touché le manteau de frère Branham alors qu'il passait. Pendant trois soirs, les gens ont défilé et frère Branham a fait une courte prière pour chacun. A la fin de chaque réunion il y avait une pile considérable de béquilles et de cannes qui avaient été mises de côté.
Frère Baxter parla dans les réunions de l'après-midi et ses messages furent grandement appréciés. Le frère Moore et moi-même, nous nous occupâmes des réunions du matin et nous priâmes spécialement pour les muets et les aveugles. Sept ou huit étaient guéris, l'un après l'autre, en une seule occasion. Un incident qui a grandement intrigué l'auditoire était le fait que les muets, une fois que leurs oreilles étaient ouvertes, pouvaient apprendre les mots anglais aussi vite que ceux en finlandais.
Résurrection du petit finlandais (3)
Un jour, je visitais la Floride et j'étais dans un train. J'eus une vision, je vis un petit garçon très pauvrement habillé, ses cheveux étaient coupés. Il avait été tué. Son petit pied avait traversé sa chaussette et était tout écrasé, il se tenait couché sur le côté au bord de la route. Il y avait beaucoup d'herbe verte, de grands rochers et beaucoup d'arbres, des pins. J'ai continué ma route vers la Floride, j'ai vu le frère Bosworth, nous étions dans une multitude comme celle-ci et je lui dis: "J'ai une vision inscrite ici dans ma Bible qui doit encore se produire (lorsque ces visions me viennent, je les écris). La voici": et je lui décrivis le tableau en lui disant que le garçonnet serait guéri.
A travers le pays, alors que je poursuivais mon voyage qui dura deux ans, des milliers de personnes ont écrit cette vision. Cela a été publié dans les journaux, un peu partout en Amérique. Deux jours après avoir eu cette vision, je m'approchai de la grande tente, un homme vint à ma rencontre: "Frère Branham, je suis sûr que votre vision concerne mon petit garçon, il est là derrière, mort. Il est mort depuis ce matin. Il s'est noyé dans une écluse. Ah! venez le voir, je ne veux pas que l'employé des pompes funèbres l'emporte". J'y allai avec quelques frères, mais lorsque je vis le petit garçon, ce n'était pas celui de la vision. Celui que j'avais vu avait huit ou neuf ans, alors que celui-ci en avait cinq. Le petit garçon que j'avais vu était très mal habillé, mais celui-ci très bien habillé. Celui que j'avais vu avait des cheveux châtains, et celui-ci des cheveux noirs, droits. Ici, il n'y avait pas de rochers, pas d'herbe pas d'arbres. Ce n'était pas là la vision. Alors j'ai prié pour le réconfort du père.
Environ deux ans plus tard, je me trouvais à Kupio en Finlande, et beaucoup de frères m'ont fait monter sur une tour et m'ont montré ce qu'il y avait à voir. Souvent pendant les réunions, je ne mange pas beaucoup, quelquefois je jeûne pendant quelques jours. Et justement alors que j'avais jeûné pendant quatre ou cinq jours, je fais cela parce que la Parole dit que cette sorte de guérison se fait par le jeûne et la prière. J'ai dit à l'un de ceux qui me dirigeaient: "Monsieur, quelque chose va se produire". Je ne sais pas pourquoi, je suis descendu de la tour et ai rencontré un Anglais qui buvait et demandait ce que l'on faisait là-haut. Je lui ai dit qu'ils étaient en train de chanter des cantiques. "Oh! je ne crois pas à cela" dit-il.
"Vous devriez avoir honte" répliquai-je; quelques instants plus tard, nous l'avons conduit à Jésus.
Nous sommes entrés dans les voitures et nous avons commencé à descendre le long de la route. En regardant par-dessus la colline, pendant des kilomètres je vis des gens qui couraient et une voiture qui se retournait: "C'est sûrement un accident" dis-je. Quelques vingt minutes plus tard, nous sommes arrivés sur le lieu de l'accident
Quelques-uns de mes frères sont sortis de la voiture pour regarder ce qui était arrivé. Deux petits garçons, l'un âgé de neuf ans et l'autre de cinq ans venaient de s'engager sur la route lorsqu'une Ford fabriquée en Amérique fit un virage très rapide et passa sur eux. Le petit corps d'un des garçonnets fut lancé très haut dans les airs, puis retomba dans l'herbe, il était encore là, mort, un manteau posé sur lui. L'autre petit garçon respirait encore, on le mena tout de suite à l'hôpital.
Trois cents personnes faisaient cercle autour du petit mort et le maire de la ville était arrivé. On était allé à la recherche du père et de la mère qui travaillaient très loin dans une ferme. Mes frères sortirent pour regarder le petit garçon et ils revinrent me dire: "Allez le voir, frère Branham". Ah! non, non, je ne voulais pas. Mon fils Billy était justement de cet âge-là, je ne voulais pas le voir. Il y avait longtemps que je n'étais pas rentré à la maison et je ne voulais pas regarder ce garçon.
Après un moment, un frère insista: "Venez, frère Branham". Alors finalement, je sortis de la voiture et lorsqu'ils eurent enlevé le manteau de dessus l'enfant, je le regardai: ses petits yeux révulsés, sa langue pendante, son petit pied écrasé à travers sa chaussette, ses chaussures avaient été arrachées et ses bras tout recroquevillés et le sang sortait de ses oreilles. C'était terrible; je me mis à pleurer et voulus m'éloigner. Je ne sais pas jusqu'à quel point vous croyez ceci, je ne peux vous dire que ce qui est vrai. Je sentis quelqu'un mettre sa main sur mon épaule, je pensai que c'était un frère et je me tournai pour le voir, mais il n'y avait personne et la main était toujours sur mon épaule. Je me retournai et demandai: "Qu'est-ce que c'est?". Alors je commençai à marcher, mais la main me retenait. Voyez comment un homme peut être stupide. Nous ne comprenons pas les choses spirituelles. Je regardai le cadavre du petit garçon et je dis à mon interprète: "Qu'on enlève à nouveau ce manteau". Je regardai ce visage; il me semblait avoir déjà vu ce garçon quelque part. Je demandai à l'interprète: "Est-ce que ce petit garçon est venu à une réunion de prières?". Personne ne le connaissait, mais il me semblait le connaître. Je voulus partir, mais la main me retint encore. Je m'arrêtai et regardai: c'était le champ d'herbe, les rochers, les arbres, et il était là, ses cheveux coupés courts... son petit pied à travers la chaussette, tout exactement conforme à l'image.
Oh! vous ne savez pas comment je me sentis à ce moment-là. Tous les diables, les démons de l'enfer n'y pouvaient rien. Dieu avait parlé. Oh! quel sentiment, je savais ce qui allait se produire. Je me suis retourné vers les frères et leur dis d'ouvrir leurs Bibles. "Mais qu'y a-t-il, frère Branham?" me dirent-ils.
Regardez la page de garde, lisez". Ils ont commencé à lire la description du petit garçon. "Mais regardez-le, regardez les arbres, c'est le petit garçon que j'aie vu il y a deux ans. AINSI PARLE L'ETERNEL. Si ce petit garçon n'est pas debout sur ses pieds dans cinq minutes, alors je suis un faux prophète. Oh! quelle chose extraordinaire! Restez immobiles" et j'ai parlé à l'auditoire.
Tous ceux qui étaient là n'ont pas voulu croire, je les voyais se pousser du coude et dire: "C'est un fanatique!". Mais ce n'est pas leur incrédulité qui a empêché la chose d'arriver. Je me suis tourné exactement comme le Seigneur me l'avait dit et j'ai prié: "Père Céleste, Toi qui ne peux mentir, Tu m'as montré qu'il devait ressusciter. O Dieu! entends la prière de Ton serviteur et que la mort ne puisse le tenir plus longtemps, rends-lui la vie, car ainsi parle l'Eternel, il vivra". Et l'enfant a crié, a sauté sur ses pieds sans aucun mal, aussi parfait qu'un garçon puisse l'être. Ce miracle fut raconté à travers toute la Russie.
Lorsque nous arrivâmes près de la frontière, ce soir-là, il y avait des soldats russes qui se tenaient au garde-à-vous, pleins de respect. Quatre soldats finnois devaient m'accompagner à travers les rues de la ville, pour me permettre d'arriver au lieu de réunion; ils se tenaient au garde-à-vous, saluant, les larmes coulaient sur leurs joues. Mon interprète me raconta qu'ils me disaient: "Nous voulons recevoir un Dieu comme celui-là, nous croirons des choses comme celles-là".
Mais qu'est-ce qui ne va pas avec le christianisme? C'est la faiblesse de la chair. Les prédicateurs ont peur de prendre Dieu au mot. Cela est vrai. Je n'oublierai jamais ce qui s'est produit.
HAUT DE PAGE
La petite orpheline finlandaise
Lorsque je suis arrivé ce soir-là, on avait donné l'ordre que personne ne soit dans les rues, même simplement pour me parler. Je n'aime pas qu'on fasse cela. Mais il y avait une telle ruée qu'on m'avait gardé dans une chambre.
Je me souviens, je passai entre deux rangs de soldats avec baïonnettes et entrai dans une petite chambre dont la porte claqua. Là, une pauvre petite fille finnoise me regardait, elle croyait avoir mal fait, elle se mit à trembler. Je savais que cette enfant voulait me voir, elle était infirme, elle avait une courroie autour d'elle, une sorte de corset de cuir par-dessus l'épaule, une de ses jambes était plus courte que l'autre et elle ne pouvait pas s'en servir. Elle portait un appareil orthopédique et avait deux béquilles. Je remarquai ses cheveux ébouriffés et ses vêtements tout déchirés, j'appris plus tard que c'était une orpheline de guerre. Par charité, on lui avait donné cet appareil.
Elle me regarda, puis baissa la tête, puis me regarda à nouveau. Je lui dis: "Ma petite fille" (elle ne pouvait pas me comprendre) et lui fis signe, elle sourit et la voici qui vient vers moi traînant sa jambe. Je restai immobile et la regardai. Quand elle fut près de moi, elle posa ses béquilles et je me demandai ce qu'elle allait faire! Elle s'accrocha à mon manteau et embrassa ma poche. Je vous dis que mon coeur se brisait; elle écarta ses jupes, c'est une façon de saluer pour les petites filles de Finlande, elle me dit merci et je la regardai à nouveau et pensai: "O Dieu! même si j'étais le plus grand hypocrite du monde, tu récompenserais cette petite fille pour une telle foi", et voulant m'en aller, j'eus une vision: la petite fille marchait normalement. Bien qu'elle ne comprit pas, je lui dis: "Ma petite fille, Jésus t'a guérie", et je continuai mon chemin.
Ce soir-là, des piles de béquilles furent laissées de côté, car le Seigneur agit puissamment. Quand ce fut temps de partir, je fis encore vite appeler une personne. Savez-vous qui elle était? C'était justement cette petite fille qu'on mit sur l'estrade. Je dis à l'interprète: "Dites exactement ce que je dis. Ma petite fille, là-bas à l'entrée, Jésus t'a guérie. Alors assieds-toi et qu'un homme t'enlève cet appareil. Mets les mains sur les hanches et descends la main en bas à mesure qu'ils enlèvent l'appareil, jusqu'à ce qu tu sentes que ta jambe est de la même longueur que l'autre, puis viens me la montrer". Alors, nous avons appelé quelqu'un d'autre en attendant. Quelques instants plus tard elle vint avec ses béquilles et l'appareil dans les mains, courant aussi vite qu'elle pouvait, tout à fait normalement. Jésus-Christ l'avait guérie.
Le deuxième petit garçon
J'ai oublié de vous parler du deuxième petit garçon écrasé sur la route et qui avait été conduit à l'hôpital. Après deux jours, il n'avait pas repris connaissance. Sa maman était dans tous ses états lorsqu'elle vint me trouver à l'hôtel. C'était une petite maman de ving-cinq ans, elle évait vraiment hors d'elle-même, elle voulait que j'aille prier pour son garçon. Le lendemain, je leur dis, à elle et à son mari: "Que voulez-vous?".
"Allez guérir mon petit garçon, monsieur" dit-elle.
"Mais je ne peux pas" lui répondis-je.
"Mais vous avez guéri l'autre petit garçon".
"Ce n'est pas la même chose; chez nous, Dieu m'avait montré un vision à son sujet".
"Alors, ayez une autre vision pour mon petit garçon". Ah! c'était une maman, cela! comme c'était beau.
Je lui dis: "Malheureusement, je ne puis pas faire ces visions, c'est Jésus qui les donne. Etes-vous une chrétienne?".
"Non!".
"Et votre mari?".
"Non!".
"Pourquoi ne devenez-vous pas chrétiens? Si votre petit garçon meurt, il ira au ciel, car c'est un petit enfant, mais si vous mourez et que vous n'êtes pas chrétiens, vous ne le reverrez jamais, jamais plus. Ne voulez-vous pas être chrétiens? En faisant cela, vous pourriez trouver grâce aux yeux de Dieu". Alors ils s'agenouillèrernt et ils réalisèrent une réelle conversion, le père embrassa sa femme et ils s'en retournèrent chez eux, mais la petite maman dit: "Oh! maintenant, allez guérir notre garçon".
Je lui dis: "Ma soeur, c'est contre les règles de notre mission que je fasse une visite personnelle. Si l'on va chez l'un et non pas chez l'autre, cela crée des sentiments d'amertume. Si le Seigneur me conduit, alors c'est différent, mais je ne puis aller ainsi. Allez chez vous; Jésus peut me donner une vision dans cette chambre, aussi bien qu'Il l'a fait il y a deux ans chez nous".
Elle écouta, puis me dit: "Alors ayez une vision!".
J'ajoutai: "il se peut que Jésus ne me donne aucune vision, peut-être ne le fera-t-Il pas, mais s'Il le fait, je viendrai vous appeler". Elle rentra chez elle. Dix minutres plus tard le téléphone sonna; l'interprète le prit: "Est-ce que frère Branham a eu une vision?".
"Non". Alors on raccrocha l'appareil. Dix minutes après, ça recommença.
Ce soir-là, lorsque je fus rentré chez moi, j'avais ma Bible sur mon coeur. Un de mes frères était avec moi; il me dit: "Billy, te rappelles-tu ces mauvais bonbons que nous avions achetés au Canada, goûte à ces deux petits morceaux de chocolat!" Généralement je reste seul dans l'hôtel, à cause des visions, alors chacun se retira dans sa chambre (c'était là-haut au pays du soleil de minuit où l'on peut lire un journal dans la rue à minuit). J'allai vers la fenêtre et regardai. Je vis des centaines de petits Finlandais venir, louant Dieu, et me tenant là, je m'écriai: "Cher Père Céleste, en un jour glorieux, Jésus viendra et fera que toute chose soit renouvelée. Oh! je T'aime Seigneur, Tu es merveilleux, je T'aime de tout mon coeur, mais veux-Tu être miséricordieux?"; J'entendis quelque chose. Sur une table se trouvait un vase avec deux fleurs, une fleur vers le sud était à moitié penchée, l'autre vers le nord penchait jusqu'en bas. Je me dis: "D'où vient cela?". Je regardai et voici qu'à côté de moi se tenait un ange, grand, avec une robe blanche, des cheveux noirs, un visage doux avec les bras croisés et qui me regardait: Que t'a donné ton frère? me dit-il.
"Deux morceaux de chocolat".
Mange-les. Alors j'en pris un morceau, le mis dans ma bouche et commençai à manger, il avait bon goût. Juste à ce moment, la fleur qui penchait vers le nord fit un bruit et se redressa. "Qu'est-ce que cela?" me dis-je.
Géographiquement c'était exactement comme les deux garçons étaient tombés, l'un au sud, l'autre au nord et celui du nord avait été ressuscité des morts.
Mange l'autre morceau, reprit l'ange; je le mis dans ma bouche et commençai à manger. C'était très amer, je l'enlevai et j'entendis quelque chose, je regardai l'autre fleur. Mange, me répéta l'ange, je remis le chocolat dans ma bouche et retins ma respiration. Au moment précis où j'avalai, l'autre fleur se releva et se plaça à côté de la première. "Mais que signifie tout cela", me dis-je. Allez appeler la mère du petit garçon. Alléluia! Dieu a entendu sa prière et le petit garçon sera guéri.
Je courus au téléphone et je poussai un grand cri et tout le monde se mit à crier et à courir. La mère du garçonnet était à l'hôpital où son enfant allait mourir. Quand elle vint au téléphone, elle cria de toutes ses forces: "Frère Branham, le petit est revenu à lui et nous l'emmenons chez nous maintenant. Le docteur ne trouve plus rien de mal en lui". Louange soit à l'Eternel!
Est-ce que j'ai eu quelque chose à faire dans cette guérison? Non, c'est la prière de la maman qui a sauvé l'enfant. Moi je n'ai fait que constater que Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et éternellement.
Un ministère unique
Certaines personnes en lisant ceci objecteront peut-être en demandant: Dans les années 50, n'y avait-il pas beaucoup d'évangélistes qui priaient pour les malades et qui obtenaient des résultats parfois aussi extraordinaires? Oui, c'est la vérité. En effet, l'histoire nous prouve que Dieu n'a pas manqué de susciter des hommes oints de l'Esprit pour répandre le réveil de la guérison dans le monde entier. Alors pourquoi le ministère de William Branham est-il unique?
C'est qu'avec William Branham, du commencement à la fin de son ministère, il a toujours témoigné qu'il ne faisait rien par lui-même, mais était visité par un être surnaturel.
Au tout début, on lui a dit que c'était Satan. Par la suite, beaucoup ont reconnu que Dieu avait visité Son église d'une façon spéciale. De tous les évangélistes qui sont apparus sur la scène, aucun d'eux n'a jamais pu dire qu'il ait vu descendre une lumière surnaturelle ou un ange pendant qu'il prêchait.
Or, il est évident, si l'on considère le témoignage de William Branham, qu'il attribue toute cette puissance spirituelle au fait qu'il ait été commissionné par Dieu au moyen d'un ange.
Inlassablement tout au long de ses campagnes de guérison, nous pouvons l'entendre confesser humblement qu'il ne peut rien faire. Il est courant qu'il parle à peu près dans ces termes:
"Maintenant, vous savez que j'attends Quelque chose. C'est vrai. C'est l'Ange du Seigneur. C'est la vérité. Je suis aussi impuissant que chacun de vous puisse l'être, et je suis ici... peut-être y a-t-il des critiques assis ici. Combien ont-ils déjà vu Sa photographie?" (4)
Cet Ange que vous voyez sur la photographie; Monsieur George J. Lacy a prouvé que la Lumière a frappé l'objectif. Ce n'est pas de la psychologie. Il a dit que l'oeil mécanique de cet appareil photo n'enregistrera jamais de la psychologie. Ainsi, que Dieu soit mon juge, je vois cette Lumière. Lorsque je me tiendrai là-bas au jour du jugement de Christ où nous irons tous, vous saurez que je vous ai dit la vérité. Je ne suis pas tellement un prédicateur parce que je n'ai pas d'éducation, mais Dieu m'a simplement donné un don. C'est simplement de mettre William Branham hors du chemin afin qu'Il puisse s'emparer de ma personne et parler Lui-même". (5)
Voici quelques exemples de ce don de connaissance afin que l'on puisse juger et voir la grande variété de son opération.
Il y a un esprit de ténèbres autour de vous. C'est la mort. C'est sous forme d'un cancer et ce cancer est localisé dans le sein. Vous avez été examinée par une personne capable. Vous avez une hernie, et cette hernie se trouve dans les intestins, et vous avez aussi un trouble à l'estomac. Vous souffrez gravement du coeur, ce qui vous cause des évanouissements. Il y a quelques jours, vous étiez assise sur le bord de votre lit et vous vous êtes presque évanouie en regardant du côté de votre fenêtre. Ces choses sont-elles vraies? Elles le sont entièrement. Eh bien! quoi qu'il en soit, cela vous a quittée. Qui, croyez-vous, connaissait votre vie, sinon Jésus-Christ? L'acceptez-vous comme tel? Merci.
Un halo de lumière entoure la tête de frère Branham. le photographe affirme qu'il n'y avait point de lumière entre frère Branham et le fond de la salle. Ceci s'est produit à Camdem, Arkansas, en 1947, à l'auditorium municipal. Soudain une grande lumière entra dans l'édifice et alla se placer au-dessus de sa tête. Plusieurs pourraient penser que la photo peut avoir été falsifiée,si ce n'était du fait que plusieurs centaines de personnes présentes ont témoigné de ce phénomène inhabituel.
Vous êtes bien disposée. Vous savez que Quelque chose de surnaturel est ici, si seulement vous croyez que c'est le Seigneur Jésus!
Je sais qu'il y a encore un esprit de ténèbres au-dessus de vous, maintenant. C'est quelque chose de très sérieux. Je vois que votre prénom est Eva, et que votre nom est York. Vous habitez dans cette ville et le numéro de votre maison est le 613 de la 6ème Rue. Est-ce vrai? Allez chez vous pour être guérie au Nom de Jésus-Christ. (4)
Je vous vois comme une personne d'apparence plus jeune, beaucoup plus jeune que vous ne l'êtes présentement. Vous souffrez d'une sorte de mal de tête - c'est arrivé il y de nombreuses années. Il y a environ vingt-cinq ans que votre mal de tête a commencé, et cela vous a tourmenté depuis lors. Vous êtes une grande croyante et vous avez prié pour cette heure-ci. Vous avez prié Dieu pour que, si seulement vous pouviez venir vers moi et que je prie, vos maux de tête cesseraient. Ces choses que je vous dis sont-elles vraies? Elles le sont. Vous avez entendu ce qui a été dit, mais ce n'était pas moi, c'était seulement ma voix... Un instant. Je vois quelque chose d'autre. Une jeune femme semble se tenir près de vous. Ah! c'est votre fille. Oui, vous veniez de décider de partir quelque part en voyage. Vous alliez la voir, elle habite Richmond, dans l'Indiana. Son mari est prédicateur. Et elle vous a écrit une lettre, ou quelque chose ainsi, vous disant de ne pas venir parce que j'allais venir ici. Est-ce vrai? Vous êtes guérie. Vous pouvez aller votre chemin. (4 )
Vous n'êtes pas ici pour vous-même, bien que vous soyez nerveuse et épuisée. Mais cela est dû à la maladie de cette enfant. Cette enfant ici souffre et elle a été déclarée par les médecins comme étant sans espoir. C'est la leucémie. Vous avez amené l'enfant de l'extérieur de la ville. Vous avez voyagé de l'Ouest à l'Est pour venir ici. Vous venez d'un état qui a des montagnes, la Pennsylvanie. Et votre ville, je crois, est Chambersburg. Est-ce vrai? Amenez-moi l'enfant... Je pose mes mains sur cette enfant et la bénis et je demande que le démon quitte l'enfant, et que la vie entre dans cette enfant et qu'elle vive et soit guérie. Sors de cette enfant, Satan. Par l'autorité de la Bible de Dieu, avec un don Divin donné par un Ange, je t'adjure de quitter cette enfant. Sors d'elle. (4)
Je vois que vous avez eu une catastrophe. C'est un accident. La voiture a été démolie et vous avez été projetée en l'air, comme cela, et vous avez été blessée quelque part dans le cou, et un cancer s'y est installé. Et vous êtes un genre d'enseignante dans les Écritures. Croyez-vous que Jésus-Christ peut vous guérir? Père Divin, au nom de Ton Fils Jésus-Christ, par l'autorité de la Parole de Dieu, près d'une femme mourante, je demande à cette chose mauvaise de la quitter. Satan, tu es démasqué, alors sors de cette femme comme l'Église du Dieu vivant te commande de la quitter, au nom de Jésus-Christ, Amen. (4)
Cette dame assise là-bas, qui a quelque chose de blanc sur son chapeau... Il y a une lumière au-dessus de cette femme, si vous pouviez la voir former un cercle au-dessus d'elle. Elle priait. N'est-ce pas vrai? Vous saviez que vous n'aviez aucune chance de venir ici devant, mais vous priiez... Je vois qu'il y a une ombre juste au-dessous, c'est la mort! Cette femme est recouverte de l'ombre de la mort. Elle a un cancer. Croyez-vous que Dieu peut vous guérir? C'est un cancer du sein. Je vois le médecin en train de l'examiner, il vous dit qu'il va essayer de l'opérer et vous voilà avec une opération en perspective. Je vous vois maintenant descendre d'une estrade, ou de quelque chose de semblable. Vous êtes une femme prédicateur. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR(6).
Autant que je sache, je ne vous ai jamais vu de ma vie, mais Dieu, Lui vous connaît... C'est pour quelqu'un d'autre qu'elle est ici, c'est pour une femme beaucoup plus jeune qu'elle. Oh, c'est sa fille. La fille est couverte de l'ombre de la mort. Elle a le cancer. Elle a été opérée pour ce cancer, mais sans succès. On n'a pu freiner son mal. Le cancer est dans les vaisseaux sanguins. Il y en a deux. Et vous êtes un peu estropiée. La raison pour laquelle vous ne pouviez pas monter les marches, c'est qu'un jour vous avez marché sur une épine... ou quelque chose comme cela. Et je vous vois essayant de sortir de la rue. C'est vrai. Vous êtes allée dans mes réunions auparavant. On a une fois prié pour vous dans une de mes réunions et il y avait quelque chose qui n'allait pas chez vous, vous aviez de la peine à respirer, de l'asthme, et le Seigneur vous en a guérie. C'est AINSI DIT LESEIGNEUR. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous vraiment? Dieu le sait et avec mes mains posées sur ma Bible, pour autant que je sache, je n'ai jamais vu cette femme de ma vie. Croyez-vous que Dieu puisse me dire qui vous êtes? Madame Shaker. Vous pouvez retourner à la maison maintenant, Jésus-Christ vous accordera votre requête(7).
Vous êtes une étrangère pour moi. Croyez-vous que je suis Son prophète? Vous le croyez. Merci. Dieu honorera cela. Vous êtes Madame White. Vous venez de Forthworth au Texas. Vous avez une maladie musculaire et un état nerveux dépressif. Votre mari, lui, a un besoin spirituel pour lequel il prie. Vous avez là un fils qui souffre du dos et d'une maladie du coeur. Le petit garçon qui est assis sur ses genoux a un problème d'élocution pour lequel vous priez. Si c'est vrai, levez la main(8).
Voici un homme d'un certain âge venant du Michigan. Il a quelque chose aux oreilles. Il entend des voix. C'est quelque chose qui se passe dans son esprit. Est-ce vrai? Vous ne savez pas si c'est Dieu ou quelqu'un d'autre qui vous parle. Vous entendez des voix. Je ne vous connais pas du tout. Si c'est vrai, levez les mains. Cela ne vous tourmentera plus jamais, Jésus-Christ vous guérit!(8).
Juste au bout de la rangée là-bas, le monsieur qui me regarde avec des lunettes. Vous êtes conscient que quelque chose de mystérieux se passe. Si vous pouviez voir ce que je vois, juste au-dessus de vous est cette Lumière. Si Dieu me révélait... maintenant vous êtes en contact avec Lui, mais Il devra utiliser ma voix et mes yeux. Vous ressentez un sentiment sur vous très doux, humble, n'est-ce pas? C'est l'Ange du Seigneur. Il est juste au-dessus de vous. Votre trouble, c'est vos poumons. Ils sont si mauvais que vous ne pouvez pas travailler. Si c'est vrai, levez la main. Oui monsieur, vous êtes chrétien. Vous êtes venu pour être guéri et vous retournez à la maison guéri. Votre nom est Monsieur Rany(10).
C'est Sa Lumière qui conduit. Vous me direz: "Que regardez-vous, frère Branham?". Je la suis. C'est dans un autre monde, dans une autre dimension, si on peut dire ainsi. Je vois un homme qui a vraiment le coeur lourd, mais je le connais! C'est le frère Funk. Je ne savais pas que vous aviez des difficultés jusqu'à maintenant. Une ombre vraiment noire est au-dessus de votre mère. Votre mère a été opérée d'un cancer et vous vous tracassez à son sujet. Le Dieu qui a rétabli votre père à son bon sens peut rétablir votre mère aussi. N'ayez pas peur. Si vous pouvez croire, toutes choses sont possibles à celui qui croit (10)
Qu'en est-il de vous? Madame, croyez-vous que je suis Son prophète, son Serviteur? Vous souffrez du même problème que la femme dans la Bible, une perte de sang. Vous n'êtes pas de cet endroit, vous êtes de l'Ohio. Vous venez juste d'être guérie dans une de mes réunions. Vous aviez le cancer et vous étiez couverte par l'ombre de la mort. C'est parti maintenant. Afin que vous puissiez savoir que je suis Son serviteur, cette perte de sang est due à votre âge. Mais vous avez aussi du rhumatisme ou une sorte d'arthrite, c'est quand vous vous levez le matin; vous êtes raide. Vous avez aussi des difficultés avec votre gorge. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous avez une autre chose sur votre coeur. Vous priez, c'est pour votre belle-soeur. Elle a des varices. Elle est mère de plusieurs enfants, n'est-ce pas? C'est vrai. Votre nom est Madame Alice Thompson. Retournez et recevez ce que vous avez demandé.
Je défis n'importe quelle personne ici, dans le Nom de Jésus-Christ, de ne pas croire dans Sa présence. Souvenez-vous, ceci est la dernière chose qu'Il fera avant Son retour(10).
Je vois une femme qui a une irritation de la peau. Vous L'avez touché. Cela vous quittera, car tout est lumière autour de vous. "Si tu peux croire, tout est possible." Croyez maintenant. Ainsi, afin que vous voyiez que ce n'est pas de la psychologie qui lit dans vos pensées, je vous tournerai le dos... afin que vous voyiez que je vous parle, cela prouve que je n'ai aucun contact avec les gens qui sont là. Mais j'implore la grâce de Dieu pour que celle-ci fasse quelque chose afin que les gens puissent savoir. Oui, je vois une jeune personne, une fillette, elle vient de très loin, elle n'est pas de cette région, elle vient d'une région pluvieuse et qui possède beaucoup d'arbres et de marécages; elle vient de l'Oregon. Elle a des crises d'épilepsie. Elle est assise là. Crois-tu que Jésus-Christ peut te guérir? L'acceptez-vous pour elle? Levez-vous, soeur. Rentrez chez vous et je réprime le diable(11).
(Frère Branham a le dos tourné à l'auditoire) Oui, derrière moi, il y a une femme, et elle ne sait pas ce qu'elle a. Oh, cette pauvre femme! Elle a eu une, deux, trois, quatre, cinq opérations. Les médecins ne savent pas ce que c'est. On l'a envoyée ici en Arizona pour se reposer. Elle vient de la Louisiane, son nom est Madame Pearson. Très bien, Madame Pearson, quelque part derrière moi, levez-vous, regardez-moi. Croyez-vous que je sui le prophète de Dieu? Je ne vous connais pas. Si c'est vrai, faites signe de la main. Nous sommes étrangers l'un à l'autre. Ce qui a été dit est vrai, n'est-ce pas? Les médecins ne savent pas ce que vous avez. Il s'agit de vos nerfs. Restez bien tranquille, ayez foi, et vous rentrerez à la maison guérie. Ayez foi en Dieu(11).
Que dites-vous que c'est?
Aussi éminents que puissent être devenus certains évangélistes, beaucoup avoueront n'avoir jamais eu de vision, d'ange, et encore moins l'ombre de la mort. Tel est le cas de Billy Graham, l'un des évangélistes les plus renommés du monde.
La question qui se pose: pourquoi un homme seul? Quelle est la signification de ces choses? Ne serait-il pas nécessaire de s'interroger au sujet d'un ministère si particulier? Est-ce scripturaire?
Nous voyons dans la Parole de Dieu bien des exemples qui pourraient éclairer ces questions, mais écoutons ce que le frère Branham déclare à ce sujet:12
Croyez en Dieu et voyez-Le travailler parmi vous, car je crois que la Lumière qui est présente maintenant pendant que je prie pour vous, est la même que Celle qui a été photographiée pendant la réunion à Houston, Texas. Je crois aussi, devant Dieu mon Créateur et mon Sauveur, que c'est la même Colonne de Lumière qui conduisait les enfants d'Israël avec Moïse à leur tête. Je crois que la Colonne de Feu qui est ici maintenant et qui révélera les secrets des coeurs des hommes présents ici ce soir, c'est la même Colonne de Feu qui est descendue du ciel et s'est faite chair et a habité parmi nous sous la forme du Fils de Dieu, Jésus-Christ. Jésus a dit : Je viens de Dieu et je retourne à Dieu, et je crois que lorsqu'Il est retourné vers Jésus, Il y est retourné sous la forme de cette Lumière; la même forme sous laquelle Il est apparu à Moïse et aux autres prophètes tout au long de la Bible. Je crois que c'est la même Lumière que Paul a vue sur le chemin de Damas, bien que ceux qui étaient avec lui n'aient rien vu.
Je crois que la Lumière qui est ici à côté de moi maintenant, c'est la même qui a conduit Pierre hors de prison. Il est ici même, répondant à la prière de cette petite femme assise ici, c'est une petite dame brune qui souffre de troubles nerveux, et l'homme assis à côté d'elle souffre d'un mal dans le dos, et vous êtes mari et femme. Levez vos mains si cela est vrai. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vus, mais le Seigneur Jésus vous rend la santé. Vous êtes guéris tous les deux. Amen.Frére Branham a été photographié à l'arrière de l'église de W.V Grant à Dallas, au Texas, en mars 1964. Remarquez la colonne de Feu sur son épaule droite.
Je vois cette Lumière maintenant se diriger vers un homme qui souffre de la vésicule biliaire. Monsieur, votre nom est Clarence. Vous venez d'un endroit appelé Grande Prairie. C'est exact, n'est-ce pas? Bien! Votre vésicule biliaire est guérie, monsieur. Vous pouvez rentrer chez vous et bien vous porter.
Vous dites : "Frère Branham, vous avez dit le nom de ce monsieur!". Mais quand Jésus-Christ était sur la terre dans un corps de chair, n'a-t-Il pas dit à Simon que son nom était Simon et que le nom de son père était Jonas? Et après qu'il se soit appelé Pierre? Eh bien, Il est encore le même. Amen.
Cette photographie a été prise à Aberdeen NC en juin 1962, n'est pas moins étonnante que celle prise à Houston, dans laquelle l'Esprit de vie peut être vue juste au-dessus de la tête de W.Branham. Frère Branham venait de s'adresser à cette femme en lui disant qu'elle était recouverte par l'ombre de la mort due à un cancer et qu'elle n'avait plus qu'un court espace de temps à vivre, à moins que dieu n'intervienne à son égard. Une autre dame qui était là dans l'assistance, en entendant frère Branham dire cela, se sentit poussée en son esprit de prendre un photographie de cette femme mourante, ce qu'elle fit aussitôt. Quand le film fut développé, le masque noir de la mort fut clairement vivsible sur la tête de cette femme. Il est vraiment frappant de constater que ce "capuchon" de la mort est exactement semblable à celui que place un bourreau sur la tête de la victime, à laquelle il est chargé d'ôter la vie. plus tard, après que la prière de guérison ait été prononcée pour cette femme, une autre photographie fut prise et il n'y avait plus aucun masque sur le visage de cette soeur. aujourd'hui, elle est en parfaite santé et sans aucun signe de cancer. Il est saisissant de réaliser qu'une caméra ait pu fixer deux images visibles pour tout le monde: sur l'une la lumière de la vie, sur l'autre, l'ombre de la mort.
La Colonne de Feu est maintenant au-dessus d'une femme qui souffre de tension artérielle. Votre nom est Miss Fishbrook. Vous êtes de cette ville, vous habitez sur la 125e Rue, le numéro de votre maison est 13104. Si cela est vrai, levez la main. Très bien. Rentrez chez vous madame, vous êtes guérie. Jésus-Christ vous a rendu la santé. Amen. Oh! vous tous, je vous invite à croire, regardez vers Dieu et croyez.
La Lumière descend ici maintenant sur cette dame juste au premier rang. Mademoiselle qui a une maladie de coeur, n'est-ce pas? Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Votre père à côté de vous a des troubles mentaux. Vous n'êtes pas de cette ville. Vous venez d'un endroit où il y a des collines; c'est Varenne, en Pennsylvanie. Si cela est vrai, levez la main, vous êtes guéris maintenant tous les deux. Jésus vous a rendu la santé. Amen.
1. Témoignages, Floride, 1952
2. Un homme envoyé de Dieu, Gordon Lindsay, chap. 22.
3. Monsieur, nous voulons voir Jésus, Renens, Suisse, août 1955.
4. Tiré du film "La profondeur appelle la profondeur", Washington, 1951.
5. La foi parfaite, Jeffersonville, 1953.
6. Discernez le corps du Seigneur, Middletown, Ohio, 1959.
7. Ecoutez-le!, Phoenix, Arizona, 1960.
8. Celui qui est en vous, Jeffersonville, 1963.
9. Poussés à bout, Jeffersonville, 1963.
10. Where is the King of the Jews, Jeffersonville, 1958.
11. Elie et l'offrande de farine, Phoenix, 1960.
12. Quand l'amour s'élance, Edmonton, 1957.
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